dimanche 7 février 2010

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lundi 4 janvier 2010

le president de la FIFJacques Anouma et Vahid à l extrême droite

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Preparation Can 2010

Dernières retouches à Dar Es Salam

Arrivée dans la soirée du samedi (19H30, heur locale) à Dar Es Salam par vol spécial en provenance d’Abidjan, la sélection ivoirienne débute ce dimanche en Tanzanie, la seconde phase de la préparation de la CAN 2010.

Pluie diluvienne sur Dar Es Salam, dimanche 03 janvier 2010. Pour les hôtes tanzaniens, ce caprice de la météo est un bon signe. La veille, à l’arrivée de la délégation ivoirienne conduite par le Président de la Fédération Ivoirienne de Football, M. Jacques Anouma, le ministre tanzanien des Sports n’avait pas caché la fierté de tout un pays de recevoir les joueurs de la sélection ivoirienne.
« La venue de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire est importante pour le football tanzanien et les Taifa Stars qui auront l’occasion d’apprendre en se frottant à des footballeurs de classe mondiale », a affirmé le ministre Joel Bendera.

En revanche, cette incursion des éléments dans le programme de préparation des Eléphants n’était pas du goût de Vahid Halilhodzic. Et pour cause, le sélectionneur de l’équipe ivoirienne s’est résolu à faire la séance de décrassage du groupe dans la salle de fitness de l’hôtel Kilimanjaro Kempinski, lieu d’hébergement des Ivoiriens. Celle-ci était initialement prévue, de 11H à 12H (heure locale) sur un stade d’entraînement situé no loin de l’hôtel.

Malgré ce contretemps, coach Vahid garde en point de mire « Angola 2010 ». Pendant la conférence de presse organisée dimanche par la Fédération Tanzanienne de Football, l’entraîneur des Éléphants a réaffirmer devant la presse locale, son ambition et celle de son groupe de mettre tout en œuvre pour atteindre l’objectif de remporter la CAN 2010. Cela passe par une bonne préparation en terre tanzanienne qui sera ponctuée par deux matches, face à la Tanzanie le lundi 04 janvier à 19H30 (heure locale) et le Rwanda, le jeudi 07 janvier à 17H (heure locale).

La première séance d’entraînement de la sélection ivoirienne s’est déroulée, ce dimanche, de 19H à 20H30 au Tanzania National Stadium.

Il faut noter que le choix de la Tanzanie comme base de préparation des Éléphants est le fruit de la qualité des rapports qu’entretiennent le Président de la FIF et son homologue de la FTF, M. Leodgar Chilla Tenga. Le premier responsable de l’instance fédérale du football tanzanien a su convaincre les gouvernants de son pays qui ont accordé une invitation à la délégation ivoirienne.

Aussi, M. Jacques Anouma n’a-t-il pas manqué de transmettre les remerciements du Chef de l’Etat ivoirien, SEM Laurent Gbagbo, à son homologue de Tanzanie avant de faire une promesse à ses hôtes et aux journalistes présents à la conférence de presse. « Si la Côte d’Ivoire remporte la CAN 2010, je prend l’engagement de venir présenter le trophée au peuple tanzanien », a affirmé M. Anouma.

Sur la route de « Angola 2010 » et particulièrement à Cabinda, où la Côte d’Ivoire disputera ses matches du Groupe B, respectivement face au Burkina Faso, au Ghana et au Togo, l’escale de Dar Es Salam n’est pas moins chargé de symbole. En prenant ses quartiers à l’hôtel Kilimanjaro Kempinski, la délégation ivoirienne dévoile pour ainsi dire ses intentions. Celles de monter sur le plus haut sommet d’Afrique. Donc de pousser Vahid Halilhodzic et ses poulains, pendant la compétition, à grimper sur le toit su football continental.

Fifci.org

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jeudi 19 novembre 2009

Coupe du monde 2010: France, la qualification de la honte

Éliminatoires de la Coupe du monde 2010:
les Bleus se qualifient grâce à une main de Thierry Henry

Après l'épreuve des barrages, l'équipe nationale de la France vient d'obtenir son ticket face à l'Irlande le mercredi 18 novembre dernier pour la coupe du monde qui se tiendra en 2010 en Afrique du Sud. Une qualification qui plutôt que de plonger les français dans la joie, leur laisse un goût très amer.
On n'a certes pas fini de parler de cette main de Thierry Henry, qui n'est pas plus de Dieu que du diable; main qui « amène » le but égalisateur de William Gallas et la qualification pour le Mondial 2010. Ethique, fair-play, honneur de la nation, vidéo, insultes, etc, etc... tout y passe depuis quelques heures. Car, à n'en pas douter, sur les 120 minutes disputées à Saint-Denis, c'est bien l'Irlande qui méritait d'aller à la Coupe du monde. Point final. Là est sûrement la plus grosse injustice d'une soirée qui restera longtemps, et pour de mauvaises raisons, dans les esprits. Mais le plus drôle dans tout ceci, c'est que depuis jeudi, les dirigeants du sport et du football français défendent le capitaine des Bleus face à cette notion de triche.

Thierry Henry lui-même a reconnu avoir touché le ballon. «Vous ne pouvez pas savoir exactement d'où vient le ballon et où il part, Il n'y a que lui qui sait si c'était volontaire. Tant qu'on ne sait pas si c'est volontaire ou non on ne peut pas parler de triche. On ne peut pas jurer avec certitude qu'il a voulu délibérément tricher. Il n'est pas le genre à pratiquer de l'antijeu et à faire des gestes anti-sportifs. Je ne crois pas qu'un joueur de son envergure (...) avec l'amour qu'il a du jeu soit un homme à faire de la pratique anti-sportive». a ainsi interprété la secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade en marge d'une conférence de presse sur les élections régionales.

Noël Le Graët a eu la même ligne de défense au micro de RTL. : «La main est un anti-jeu, mais on peut juger des joueurs sur une carrière. Et si vous faites le bilan de la carrière de Thierry Henry, je pense que le seul mot qui ne lui convient pas : c'est tricheur. C'est un homme d'une énorme qualité aussi bien au niveau du jeu que de l'esprit, de courtoisie dans un vestiaire, c'est quelqu'un qui adore le football, qui adore l'équipe de France, et je crois qu'il faut absolument oublier cette "déconvenue".»

Pour Daniel Cohn-Bendit, le leader écologique, Henry a fait son job, mais la qualification est complètement imméritée. La main de Thierry Henry, c'est le summum de la chance, estime ce passionné de football, pour qui c'est l'arbitre qui aurait dû voir la main. Ce qui m'a terrifié, a dit Cohn-Bendit, ce n'est pas la main - ça arrive, les plus grands on fait ça comme Maradona -, ce qui est horrible, c'est la manière dont a joué l'équipe de France. Sur tous les matchs de qualification, la France n'a fait aucun bon match, aucun. Ce qui pend au nez de l'équipe de France en Afrique du Sud, c'est ce qui lui était arrivé à Séoul, à savoir une élimination au premier tour comme en 2002. Il faut avoir le coeur bien accroché pour supporter l'équipe de France après un match comme ça".

Hallucinant cette façon de défendre l'indéfendable. Il faut dire que les Bleus sont tombés sur une équipe "civilisée et fair play". Sinon, l'on aurait assisté à un véritable drame à la fin du match.

J2M

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mardi 17 novembre 2009

Le sport réussit là où la politique échoue

Depuis 2002 une crise militaro-politique sans précédent bouleverse la Côte d'Ivoire. En dépit de toutes leurs stratégies, à ce jour, les politiques ne sont toujours pas parvenus à réunifier géographiquement le pays et par extension le peuple ivoirien . Seul le sport et particulièrement le football a réussi là où le monde politique a échoué. Pour exemple le match du 3 Juin 2007 à Bouaké, ainsi que les qualifications aux phases finales de la coupe du monde ont remis du baume au cœur des Ivoiriens sans distinction de parti.
Pour illustrer mes dires, je vous invite à découvrir cet article de Idrissa Konaté, un journaliste du quotidien Nuit & Jour.




Réconciliation nationale en Côte d'Ivoire : Quand le sport supplante la politique

Depuis le déclenchement de la crise politico-militaire en Côte d’Ivoire, les Ivoiriens se sont profondément mis à dos les uns contre les autres. Au point où l’intérêt national a été voué aux gémonies. Cette période va heureusement coïncider avec l’émergence d’une classe de sportifs de renom, notamment des footballeurs qui vont réussir à mettre tous les Ivoiriens en confiance en leur donnant l’occasion de vibrer et d’espérer dans un élan commun.

Alors même que les signaux de l’horizon politique sortant difficilement de la zone rouge, la rencontre Côte d’Ivoire-Guinée a permis aux ivoiriens de s’unir. Comme un seul homme, se sont mobilisés autour des éléphants footballeurs. Pour cette occasion, comptant pour la qualification de l’équipe nationale au mondial et à la Coupe d’Afrique des nations 2010, la nation ivoirienne, dans toute sa diversité, s’est mobilisée comme un seul homme autour de leur équipe nationale. Les antagonistes ont vite fait place à une véritable effervescence autour du onze national. Dès lors et côte à côte, tous les citoyens ont chanté et dansé au même rythme autour de la bande à Drogba Didier. A la faveur de cette rencontre qui, pourtant n’avait aucun enjeu pour la sélection ivoirienne, d’autant qu’elle avait déjà une grande longueur d’avance sur les Guinéens, l’ensemble des Ivoiriens n’a pas voulu être à l’écart d’une si belle occasion.

Le sport comme facture de cohésion nationale

L’évènement était tout de même d’envergure nationale d’autant qu’il donnait ainsi aux Ivoiriens de rompre avec la monotonie à laquelle les dirigeants politiques nous habitués. Contrairement aux politiques, les sportifs d’Eburnie réussissent, le temps seulement d’une rencontre sportive, de réconcilier tous les Ivoiriens des semaines durant. Et pourtant, depuis le déclenchement de la crise politico-militaire, les hommes politiques se sont engagés dans plusieurs accords coûteux de réconciliation. De Lomé à Accra, en passant par Marcoussis, Pretoria et enfin Ouagadougou en 2007, ces derniers n’ont pas pu trouver de schéma approprié pour mettre fin à plusieurs années de souffrance inutile. En réussissant de façon spectaculaire cette noble mission, les éléphants démontrent leur pouvoir de mobilisation, mais surtout de réconciliation. A chacune de leur sortir, la bande à Drogba Didier réussit à réconcilier les Ivoiriens dans leur ensemble. Chose tout de même facile, mais à voir les hommes politiques louvoyer autour d’une simple réconciliation, l’on se rend à l’évidence que la situation de ni paix ni guerre est pratiquement à leur avantage.

La mauvaise foi avérée des leaders politiques

Depuis près de 10 ans, les hommes politiques ivoiriens ont assombri l’horizon politique. En effet, à la faveur du premier Coup d’Etat militaire, le pays s’inscrivait dans un cercle vicieux dont les retombées les plus significatives ont été matérialisées par la rébellion armée de septembre 2002, suivie d’une longue crise qui ne cesse d’enfoncer le pays dans le gouffre de la pauvreté. Et pendant ce temps, plutôt que de trouver une issue heureuse à cette situation qui n’est pas à l’avantage du pays, tant au plan national, qu’international, ces acteurs de la scène politique se complaisent dans la nomination de plusieurs de leurs ‘’lieutenants’’ à des postes de ministre ou de hauts cadres dans l’Administration ivoirienne. Les souffrances et autres difficultés du quotidien ne sont pas leur souci majeur. Sinon, comment comprendre que depuis plus de sept ans ils n’ont pu s’entendre sur l’essentiel pour ne serait-ce que favoriser le retour à une situation normale. Bien entendu que cela passe par l’organisation d’élection libre et transparente.

Les Eléphants au secours du peuple ivoirien

Dès lors, pour ne pas vivre le stresse lié aux multiples reports de la Présidentielle, les ivoiriens dans leur ensemble ont décidé de se mettre d’accord, le temps de la présence des éléphants footballeurs pour vivre ne serait ce que le temps d’une véritable illusion du bonheur. Les affluences émaillées de pied de grue devant l’hôtel et les différents édifices devant abriter toutes les cérémonies à l’honneur des Eléphants footballeurs. Que dire aussi es randonnées du stade Houphouët-Boigny où, bien que prenant rendez-vous le plus souvent avec la mort, de nombreux ivoiriens vont à la rencontre de leurs idoles. Chose que, malheureusement, les hommes politiques ne peuvent se targuer de réussir aujourd’hui. Car ils ont tous échoué sur la ligne, au point de coller à la Côte d’Ivoire une image de pays à risque. Seuls les sportifs, et bien évidemment les footballeurs ont permis au pays de se refaire une image de pays phare à travers leurs résultats, mais avec surtout leur fréquence de participation aux différentes phases de la CAN et leur 1ère participation, suivie en juin prochain de la seconde en Coupe du monde. Le faisant, Kalou, Aruna, Kader et les autres réussissent là où les hommes politiques semblent avoir tous échoué. Parmi ceux-là, il y en a comme c’est de coutume en Afrique, qui montaient déjà sur leurs plus beaux chevaux pour aller éclabousser la Côte d’Ivoire, la présentant comme pays esclavagiste où les enfants sont utilisés dans les plantations de Café et de Cacao. Ils manifestaient tellement ‘’leur amour’’ pour le pays qu’ils demandaient aux chocolatiers de boycotter l’achat du Cacao ivoirien. A y voir de près l’on peut retenir que seuls les Eléphants footballeurs sont les seuls qui aiment véritablement leur pays. Car Drogba Didier, malgré toute la manne financière qu’il engrange à Chelsea, ne se fait pas du tout prier pour venir mouiller le maillot pour son pays. Combien sont-ils les hommes qui peuvent s’inscrire aujourd’hui dans cette logique ? L’époque du ‘’vieux’’ Houphouët est vraiment révolue. La nouvelle classe de dirigeants africains est plutôt animée par un sentiment d’égoïsme, de cynisme et de cupidité. Pour preuve leur propension à l’enrichissement, quitte à y laisser leur honneur. En espérant que la Côte d’Ivoire pourra toujours compter sur ses sportifs pour redorer son image, nous profitons de ces lignes pour renouveler nos félicitations et surtout nos remerciements aux Eléphants footballeurs de Côte d’Ivoire.

Idrissa Konaté

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samedi 31 janvier 2009

Can Juniors : Ghana-Cameroun- Une finale explosive

La finale de la 16ème édition de la Coupe d'Afrique des nations des juniors mettra aux prises, ce dimanche, le Ghana et le Cameroun à Kigali. Vainqueurs des Flying Eagles du Nigeria (2-0), les Lionceaux camerounais affrontent les Black Satellites ghanéens tombeurs des Sud-africains pour la conquête du titre. Un match qui s'annonce explosif, car les deux équipes se sont qualifiées de fort belle manière face à leurs adversaires. Les Juniors ghanéens rêvent de remporter leur troisième trophée. Vainqueurs des éditions de 1993 et 1999, les Black Satellites et leur capitaine Ayew André Dédé voudront rééditer l'exploit, surtout qu'ils sont si près du but. Mais il faudra compter avec les Lionceaux du Cameroun qui sont, eux également, déterminés à remporter ce trophée. Pour les Lionceaux, ces retrouvailles avec le Ghana auront également un goût de revanche, puisque les deux formations s'étaient déjà rencontrées à ce stade de la compétition en 1993. Et la rencontre avait tourné à l'avantage des Black Satellites. Pour cette autre confrontation, le Ghana et le Cameroun ne cèderont pas le moindre bout de terrain à leur adversaire. Surtout qu'ils disposent, tous les deux, de très bons joueurs pouvant faire la différence à tout moment. Les spectateurs de Kigali ne seront pas du tout déçus, car ce match sera sans aucun doute riche en suspense et en actions.

Joëlle M

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vendredi 30 janvier 2009

Fédération ivoirienne de volley ball - Koné Sanga s`installe

Koné Sanga Yssouf, le nouveau président, est rentré hier, en possession des clés des locaux de la FIVVB et des documents afférents à ladite fédération lors de la cérémonie de passation de charge qui a eu lieu entre son prédécesseur et lui. C'était en présence du directeur des sports de haut niveau, Boguinard Lucien. Ces documents qui retracent les activités du bureau sortant portaient sur l'installation des ligues, la subvention de la taxe parafiscale, les contrats d'assurance, les créances, l'inventaire du local, l'équipement de bureau, le matériel informatique, les tribunes, les filets de Beach volley et volley qui par ailleurs sont endommagés et bien d'autres éléments. L'ex-président Konet Jeannot a aussi fait le bilan des finances parmi lesquelles des arriérés de salaires du personnel chiffrés à 460 000f, et d'autres dettes contractées par le bureau sortant. Suite à cet exposé, le directeur des sports a dans un premier temps relevé le fait que le bureau sortant n'ait pas fait usage des fonds de la parafiscalité d'un montant de 4 millions 800, pour résoudre les problèmes. Puis il a salué l'esprit démocratique du président sortant qui n'a fait aucune difficulté pour se soumettre à la date fixée par le ministère pour la présente cérémonie. Quant au nouveau président, il a félicité son prédécesseur pour les huit (8) années de travail abattu et a promis le solliciter tout le long de son mandat.

Joelle M

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